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26/03/2009

Réunion publique à Villejuif le 8 avril !!!

Ce n'est pas à nous de payer LEUR crise !

Le Capitalisme est en crise: les gouvernements donnent des milliards aux banques et au patronat pour sauver ce système et ne donnent que des miettes aux travailleurs, les vrais victimes de cette crise. Ca suffit, stop aux plans de licenciements !
Les investissements doivent servir à l'emploi, pas aux profits !

Nos revendications visent à répondre aux besoins de la population qui ne doit pas payer les pots cassés de cette crise globale du système.

Rendez-vous Mercredi 8 avril, 20h, Salle Maurice Cardin (Passage du Moutier) pour discuter, débattre ... Une alternative au capitalisme est possible et nécessaire !

Parmis nous seront présentes deux personnalités du NPA

Daniel BENSAID
(co-auteur avec olivier Besancenot de « Prenons Parti pour un socialisme du XXIè siècle » ,
auteur d'un article sur la crise dans le hors série de Politis à lire ICI)
et Omar SLAOUTI
(tête de liste aux européennes, membre de la commission NPA quartier populaire dont le travail est ICI).

13/03/2009

Pour l’arrêt des expulsions et la baisse des loyers




Manifestation Dimanche 15 mars à 14h30 de la Place de la République à Châtelet.


Appel du DAL

Le 15 mars, qui marque la fin de la trêve hivernale et le retour des expulsions risque cette année d’être dramatique pour un nombre croissant de familles et de personnes.

De nombreux locataires rencontrent des difficultés pour payer leur loyer, leurs charges car ils n’ont jamais été aussi élevés. Demain l’huissier peut frapper à n’importe quelle porte. Plus de la moitié des Français craignent de perdre un jour leur logement, ce n’est pas un hasard.

La flambée des loyers et de l’immobilier, conjuguée à la baisse des revenus ont rendu difficile, voir impossible, l’accès à un logement durable pour les demandeurs de logement, les jeunes, les migrants, les salariés modestes. Le pouvoir d’achat des ménages est réduit par le poids de la charge logement. L’offre de logements à loyer compatible est très nettement insuffisante. Les formes d’habitat précaire se développent, les marchands de sommeil font fortune et la crise du logement s’étend.

De plus, la récente Loi Boutin sur le logement accélère les expulsions par la réduction des délais pouvant être accordés par le juge, et attaque le droit à un logement stable des locataires dans les HLM comme dans le parc locatif privé. Elle accélère la privatisation des HLM et ponctionne des fonds destinés au logement (1%, Livret A) pour compenser les coupes sombres dans le budget logement de l’Etat. Elle vient au secours des milieux de l’immobilier et ampute de nombreux droits des mal-logés et des sans logis. Elle doit être abrogée.

Pour exiger :

  • L’arrêt immédiat des expulsions locatives,
  • Le droit à un logement stable, à la place de la précarisation des locataires,
  • La baisse des loyers, des charges et la taxation de la spéculation immobilière, pour rendre le logement accessible à tous,
  • La réalisation massive de vrais logements sociaux, et en attendant, l’application de la loi de réquisition.

1er signataires : AC, ACDL, AFVS, AITEC, ATTAC, CAL, CDSL, CGT, CNL, Collectif SDF Alsace, Coordination anti-démolition HLM, COPAF, CSF, DAL fédération, FSU, HIC Europe, IPAM, LDH, Militant, No-vox, Union Syndicale Solidaires …

  • Ainsi que : NPA, PCF, les verts,…
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Si vous êtes en difficulté, les dispositifs de prévention des expulsions peuvent vous aider :
Allez voir ICI

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plus d'infos sur la loi Boutin ICI

18/12/2008

NPA - commission quartiers populaires

NANTERRE, 13 déc 2008 (AFP) -
Le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) a organisé samedi à Nanterre (Hauts-de-Seine) une réunion nationale des comités intervenant dans les quartiers populaires, pour "réfléchir aux axes de revendication et à l'orientation" du parti au sujet des banlieues.

"L'objectif est d'expliquer que la question des quartiers populaires est une question centrale du NPA", a déclaré Anne Leclerc, du comité du 18e arrondissement de Paris. Pour Omar Slaouti, du comité d'Argenteuil (Val-d'Oise), les quartiers populaires sont "un miroir grossissant de ce qui se passe ailleurs", faisant des banlieues un "cocktail explosif". Le Plan Espoir banlieues, lancé par la secrétaire d'Etat à la Politique de la Ville Fadela Amara, constitue, selon M. Slaouti, une "politique de saupoudrage" car "seules 50 des 750 zones urbaines sensibles ont été choisies" et "seul 1% des contrats aidés promis ont été créés cette année".

Au cours des débats, des militants ont souligné la difficulté pour le NPA de s'introduire dans ces quartiers, compte tenu notamment de la défiance de la population envers les partis politiques. En réponse, Fahima Laïdoudi, venue de Toulon (Var), a proposé "d'impulser" l'émergence de comités locaux du NPA en "s'organisant nous-mêmes". "La révolution est un sujet qui plaît" dans les quartiers sensibles, a-t-elle ajouté.

"Dans les quartiers, il n'y a pas des révolutionnaires mais des révoltés", a affirmé Abdel Zahiri, d'Avignon (Vaucluse). "Après, il faut une prise de conscience, une politisation et on va prouver avec les textes et nos idées qu'un choix de société est possible avec une meilleure répartition des richesses et plus de démocratie", a-t-il poursuivi.


25/10/2008

Débat "Crise financière, qui va payer?"

organisée par le comité NPA Villejuif


lundi 27 octobre 2008 à 19h30

lieu :
Maison des Associations
(entrée par l'arrière)
54 rue Jean Jaurès
Villejuif (94)
Métro Paul-Vaillant-Couturier



Il y a plus d’un an maintenant que la crise a éclaté, et elle se diffuse depuis comme une traînée de poudre, sans que l’on sache où elle va s’arrêter. Reste à savoir qui va payer la facture ?

Cette crise structurelle du système remet en cause les fondements du capitalisme néo-libéral. L'accumulation sans fin de capitaux qui menace la société aujourd'hui n’est pas une dérive du capitalisme "déréglementé" mais le cœur même de son fonctionnement.

Face à la crise, la politique antisociale de nos gouvernants s'accélère :

- recul du pouvoir d’achat et explosion des licenciements ;

- maintien du plan de saccage de l’hôpital public ;

- accélération de la contreréforme de l’État avec 30 600 postes de fonctionnaires supprimés ;

- démantèlement de la fonction publique ; mais pourtant de nouvelles aides, exonérations de charges et d’impôts pour les patrons.

Inacceptable !
Mais cela peut changer... Venez discuter des résistances que nous pouvons organiser :

° Il faut interdire tous les licenciements en prenant sur les profits accumulés pendant des années.

° Une hausse immédiate des salaires, des pensions et des minimas sociaux de 300 euros nets ! aucun revenu en dessous de 1500 euros. Face à l'inflation menaçante, il faut aussi l'indexation automatique des salaires sur les prix et le contrôle populaire sur les grands groupes de la distribution !

° Nous devons exiger la levée du secret bancaire pour faire toute la lumière sur les circuits spéculatifs, savoir qui s'enrichit et qui profite. Nous devons empêcher une poignée d'hommes de décider du sort de millions d'autres.

° Il faut mettre en place un service public bancaire non pas en nationalisant les pertes mais en expropriant les banques sans indemnités ni rachat, pour les faire fonctionner sous le contrôle des salariés et de la population.

Alors, ensemble, débattons, rencontrons-nous, organisons-nous et inventons nos propres moyens d’actions pour combattre cette société inégalitaire et liberticide, pour changer notre quotidien, pour construire notre avenir !

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